Le Side Imaging™ sait convaincre

Le Side Imaging™ sait convaincre

30/07/2009

Depuis la sonde à main, une simple corde portant des repères et un lest, le matériel n’a cessé d’évoluer, et à chaque étape il s’est trouvé des gens pour dénigrer ces avancées. Sur l’histoire du sondeur, il faut visiter le site de carnassiers.com.
Pour le Side Imaging™, les images fournies sont si différentes de celles d’un sondeur classique, que certains hésitent à sauter le pas. Pourtant, ces images sont d’un tel réalisme que leur lecture est bien plus aisée que l’interprétation d’une simple courbe de couleur.
Ceux qui l’ont testé ne s’y trompent pas, ils exploitent leur sondeur jusqu’au bout, en particulier pour une prospection accélérée.
Il existe bien sûr des limites, et on admet notamment que la profondeur maximum de sondage est de 30 mètres (sauf cas exceptionnels, voir article « Side Imaging – Record de profondeur »). Quand on atteint ces limites, le sondeur reste utilisable en mode « classique », car sur les 4 faisceaux qui équipent les sondes de ces appareils, il y en a deux respectivement à 200 kHz / 20° @ 10db, et 83 kHz / 60° @ 10db.
Donc après un petit temps d’adaptation à ce mode de visualisation 3D du fond, les utilisateurs sont le plus souvent époustouflés par les résultats, et éprouvent par la suite de grandes difficultés à s’en passer.
Chaque jour donc, un curieux qui essaie un sondeur Side Imaging™ devient un utilisateur convaincu.
C’est le cas de Guillaume Fourrier, passionné de mer qui pratique tous les types de pêche sportive. Un article de son blog en particulier nous décrit dans le détail les capacités de cette technologie qu’il qualifie « d’arme de repérage de poste ».