Grand Pavois Fishing – Le Trio Gagnant !

Grand Pavois Fishing – Le Trio Gagnant !

24/09/2010


 


 


 Un semi-rigide particulièrement confortable et marin, propulsé par un moteur tout aussi fiable et puissant et un sondeur GPS (combiné) d’une redoutable efficacité : telle est la recette miracle qui permet aux équipages d’être efficaces et performants ! Cette combinaison gagnante, c’est aussi le fruit d’une association réussie entre Valliant – Mercury et Humminbird.


 


Pour la première fois en France, lors d’une compétition de pêche, chaque équipe disposait de la même embarcation (un Valliant DR 620) (modèle customisé fishing équipé d’un vivier de 80 l régénéré en eau de mer permettant ainsi de conserver les poissons vivants dans des conditions optimum). Ces bateaux étaient aussi équipés d’un moteur Mercury Verado de 150 CV, d’une VHF Navicom et d’un combiné (sondeur/GPS) Humminbird 898 C. Autant dire que les petits plats étaient vraiment mis dans les grands.


 Le team Mercury, composé de Paul-André Rascle et de Christian Seguin, classé 5e à l’issue de cette épreuve nous parle de leur matériel : « Pour cette épreuve, il y avait donc 8 bateaux mis à disposition pour 8 équipages et après 5 jours d’utilisation intensive, nous n’avons pas eu la moindre panne !


Paul-André Rascle : « Dés le premier jour de préfishing, nous n’avons vraiment pas mis de temps à prendre en main le bateau et les différents équipements fournis par les partenaires. Les embarcations sont très bien équilibrées et ils sont équipés d’un moteur performant qui associe à la fois puissance et grande douceur de fonctionnement. Les Valliant DR 620 sont vraiment très marins. Pour ne rien vous cacher, nous n’avons d’ailleurs pas mis de temps à voir ce qui ont véritablement dans le ventre. Manette des gaz à fond, nous avons atteint les 43 nœuds en étant deux à bord (mer lisse). Que du bonheur ! »


 Le préfishing s’est poursuivit pendant trois jours. Ces phases d’entrainement qui consistent à repérer les différents postes susceptibles d’abriter des bars nous ont permis de tester véritablement le matériel fournit à bord, à savoir l’électronique. Nous avons eu les yeux constamment rivés sur le sondeur à la recherche de précieuses informations (vitesse, position du bateau, température de l’eau, profondeur…) Nous avons particulièrement appréciés les différentes options qui permettent de régler la sensibilité et donc d’obtenir une détection encore plus fine, plus précise.


Les trois touches raccourcis sont aussi parfaites car en un tour de main ou plutôt un clic, elles permettent d’accéder au mode sondeur plein écran, mode combiné (sondeur + GPS) ou encore en mode GPS plein écran. Ces trois configurations, accessibles encore une fois en un seul clic sont très appréciables, surtout lorsque ça bouge en mer. Un véritable gain de temps et une facilité d’utilisation déconcertante ! De plus, les écrans, suffisamment large nous permettaient de recevoir plusieurs informations à la fois :


 1/ La vue de la couche d’eau avec une fenêtre contenant un zoom sur les 2 premiers mètres afin de déceler d’éventuels poissons tapis au fond.


 2/ Un écran partagé : indiquant à droite la position du bateau par rapport aux points GPS déjà enregistrés, à gauche la vue de la couche d’eau, ce qui permet de se diriger sur le poste tout en surveillant la présence de poissons aux alentours et sur le poste.


3/ La vue de carte de navigation seule, en effet lors des déplacements à grande vitesse, cette vue en 16/9 permet de suivre son cap vers un point malgré les secousses provoquées par la navigation.


Mais il existe bien d’autres combinaisons…et notamment la possibilité d’obtenir des vues radiographiées du fond grâce à la technologie Side Imaging. Nous avons pu localiser précisément des groupes de poissons sur des morceaux d’épaves ou encore connaitre la nature du fond sur des zones plus vastes (roches, sable, végétation…)


Pour la compétition, nous sommes partis confiants et nous avons accédés rapidement à nos points GPS. Les poissons étaient toujours là et çà a payé malgré les faibles coefficients de marée qui n’étaient pas les plus propices à la pêche du bar.


En tout cas, c’est bien dans les conditions plus difficiles que le matériel peut faire la différence !